fic the gazette

miyavi XDD
hate de lire la suite!!!

hate de savoir ce qui va se passer ^^

Ok

1. Encore Miyavi o.O
2. MIYA NAMOURR!!!
3. Miyavi troppp chouette *___*
4. Une suite plizzz^^

ouais je sais encore miyavi mais quand j'ai écrit sur mon papier la fic je venais juste de voir la vidéo où Miyavi fait un bisou sur la joue de Kai, et j'avais envie de le mettre
[je recommence à mettre les noms devant parce que y'a beaucoup de perso]


Kai: Qu'es ce que tu fais là ????
Miyavi: Ben ça se voit pas ? Je viens te voir baka, Ruki m'a dit que tu étais malade et pas bien ces derniers temps, donc je suis venu te voir, j'ai pas le droit ?
Kai :Si, ça me fait plaisir que tu sois venu me voir, mais je pensais vraiment pas à toi...
Aoi: Ah bon, mon coeur, tu avais une idée de qui allait venir ?
Kai : Nan, mais j'étais loin de m'imaginer que ça serait toi
Ruki: bonne surprise pour ma part, je suis content
Kai: Ca vous direz de rester manger à la maison ce soir ?
Ruki: *regarde Miyavi*: oui si tu veux, tu en penses quoi Miya ?
Miyavi: Euh.. oui ça me va
Aoi: Tu invites, mais c'est qui qui doit tout faire à manger, c'est moi..
Kai: c'est bon je vais le faire, t'inquiètes pas
Ruki: Tu devais pas rester au lit
Kai: m'en fou, c'est pas faire à manger qui va me tuer, Iie ?
Aoi: Ruki a raison, tu devait rester au lit, mais bon ça passe pour ce soir et après tu restera cloué au lit
Miyavi: Au pire on peut commander des pizzas
Kai: nan, je veux faire à manger, et pis de toute façon pour une fois que j'ai le droit de m'échapper du lit, j'en profite
Aoi: je t'es à l'oeil et c'est pas une raison
Ruki : je vais t'aider à mettre la table alors
Aoi: c'est bon, tu es invité, tu vas quand même pas faire ça ?
Miyavi: Je crois que tu l'a véxé
Kai: *se lève* des pates, ça convient à tout le monde ?
Aoi: allez vous mettre à table, on vous rejoint dès que c'est pret
Sur ce j'allais dans la cuisine et je fis ce que j'avais à faire, sous ton regard attentif, tu ne me lachai pas, surement la peur, le repas, ce fit calmement et on avait inviter Miyavi et Ruki à dormir à la maison vu l'heure où c'était fini le diner et ils étaient surtout bien bourré, Ruki dormit dans la chambre d'amis et Miyavi s'était installé sur la canapé...
Le lendemain matin, tout le monde dormait encore lorsque je m'étais éveillé, je décidai alors de me rendre à la boulangerie pour acheter ce qui servirait de petit déjeuner car mon armoire n'était pas tellement pleine, lorsque je rentrai, tu m'attendais de pieds fermes devant l'entrée, je craignais la disputee à 9h du mat'
Aoi: mais t'es passé où ?
Kai: je suis juste aller chercher des croissants, pas de quoi si'nquiétait
Aoi: ben si justement, on t'avait dit de rester au lit
Kai: j'y arrive pas, j'ai besoin de bouger, je peux pas rester à rien faire
Aoi: ben tu vas y arriver, je vais t'attacher au lit dès que j'irai me coucher ou je pourrais pas veiller
Kai: tu vas vraiment le faire ?
Aoi: Hai, je rigole pas sur la santé
Kai: Gomen, mais j'ai pas pu m'en empecher cette fois
Aoi: maitenant retoune au lit, et je veux pas t'en voir bouger
Kai: et je me lave comment ?
Aoi: t'inquiètes pas j'ai tout prévu
Je retourna au lit, me demandant comment on avait pas réveiller les deux invités qui dormaient encore, je craignait être attaché au lit, vas tu vraiment le faire, je crois que j'ai chercher aussi, mais je ne pensais pas en être arrivé là, tu revins dans la chambre une dizaine de minutes de plus tard...
Aoi: passe moi tes mains, je veux pas que tu t'échappe pendant que je prépare le petit déj'
Alors tu allais vraiment le faire, je cachai mes mains sous moi, je n'avais aucune envie de me retrouver attaché à un lit
Aoi: aller donne les moi
Kai: non, je refuse d'être attaché à un lit
Aoi: je vais y aller par la force alors
Kai: comme tu préféres, je me laisserai pas faire
Aoi: je fais ça pour ton bien, à chaque fois que je te laisse seul, tu pars, je veux pas qu'on vienne me chercher pour venir te voir l'hosto parce que t'as fait un malaise dans la rue
Je lui tendit mes mains et il en attacha une sur le bord du lit, c'était vraiment désagréable mais c'était la seule chose à faire pour que tu sois rassuré et que tu me laisse
Aoi: c'est bien mon coeur, tu décides d'être raisonnable
Kai: j'ai pas trop le choix, je crois
Aoi: non t'as pas le choix et ça sera ça pendant deux trois jours quand je serai pas à coté de toi
Kai: compte pas me voir aussi docile à chaque fois
Aoi: ben je te dompterai, jusqu'a ce que ça rentre dans ta tête que tu dois rester au lit et te reposer
Kai: oui chef ! maintenant tu peux aller préparer à manger maintenant que t'es traquille
Aoi: oui c'est bon, je suis serain
Et tu me laissa une fois de plus mais cette fois attaché et désemparé car mes mouvements étaient assez limité, je décidai alors de fermer les yeux, espérant que le temps passe plus vite ou au pire m'assoupir et me plus sentir ce fichu lien sur mon poignet...


bon ben on va dire que le passage fini là, je sais ça part encore en live mais bon je m'éclate toute seule

lol

c'est marrant...

la suite XD

la suite après un long moment où j'avais plus rien écrit sur celle là.

Quand allait tu revenir, combien de temps comptais tu me laissais attaché comme un vulgaire animal, je n'aimais pas cette situation, elle était à mon désavanage, tu pourrais bien faire ce que tu veux de moi après, je t'en pris détache moi, je te promet de ne plus partir, je me mis à pleurer
-Ruki: Kai ??? Que fais tu comme ça ? Où est Aoi ? me dit-il étonné.
-Kai: Partit faire le petit déj'...
-Ruki: Pourquoi es-tu attaché ?
Il détacha alors le lien qui serraient mon poignet.
-Kai: Car il ne voulait pas que je me lève, parce que je suis parti cette nuit.
-Ruki: Arrêtes de pleurer, c'est fini, tu sais que les medecins t'ont dit de te reposer, et c'est pas en vadrouillant que tu reprends des forces.
-Kai: Tu es aussi de son coté ?
-Ruki: Je ne suis pas de son coté, je suis du coté de personne, mais il faut que tu comprenne que tu doit te reposer
Tu arriva dans la pièce avec un plateau repas et je m'arrêta de pleurer immédiatement, surement car je ne voulais pas que tu me vois comme ceci.
-Aoi: Il a raison mon coeur, tu dois te ménager en restant au lit.
-Kai: Mais je ne tiens pas au lit.
Miyavi entra machinalement en baillant.
-Miyavi: Ohayo !
-Kai, Ruki, Aoi: Bonjour.
-Ruki: Bien dormi ?
Miyavi piqua un croissant.
-Miyavi: Ouais, je peux ?
-Kai: Oui sers toi je n'ai pas très faim.
-Aoi: Ca aussi, faut que tu manges, tu fais tout le contraire de ce qui faut.
-Ruki: C'est pas dans tes habitudes pourtant ! fit-il étonné.
-Kai: Laissez-moi !
-Miyavi: Qu'es ce qui se pase ?
-Kai: J'en ai marre d'être malade, qu'on s'occupe de moi, je ne suis plus un bébé.
Je me cacha ensuite sous les couvertures légérement honteux d'avoir prononcer ces phrases.
-Ruki: On va te laisser alors, tu viens Miya ?
-Aoi: Merci d'être passé, je pense que ça lui a quand même fait plaisir.
-Miyavi: Au revoir tête de mule.
Je sortis la tête du lit.
-Kai: Au revoir.
Sur ce dernir au revoir Ruki et Miyavi partirent. Tu les raccompagna, pendans que j'essayai de me rendormir. Je m'endormis rapidement le lien n'étant plus, je pouvais dormir confortablement, mais cela ne risquait pas d'enlever mon énervement qui c'était déclaré dès ce matin, tu étais revenu me voir dès qu'ils furent partis et tu t'étonna de me voir voir déja endormi, tu pensais que je fuyer quelque chose, que quelque chose n'allait pas et que c'était le seul moyen d'y échapper, tu posa tes lèvres sur ma joue et tu commença à me faire des bisous un peu partout sur le visage, passant ta main sous mon haut, me carressant doucement, je m'étais réveillais mais je refusais de te montrer que j'étais levé, je décida de garder les yeux fermés, essayant de ne pas perturbé mon souffle à cette douce souffrance, tu étais décidemment doué pour me faire languir. Lorsque tu anbandonna, faché que je en me réveille pas, j'étais heureux, je m'étais prouvé que je pouvais résister à tes doigts de fée, et j'essayai une nouvelle fois, de me rendormir, mais cette fois à tes coté. Tu t'étais instalé dans notre lit, je pense que u m'observai, je sentai cette air chaud qui sortait de ta bouche pour finir sur mon visage pale. Je devais me reposer mais comment ? Tu me perturbai à rester si près de moi, tu m'en empêchais de dormir, ce n'étais pas non plus ta faute mais presque.
- Je t'aime dis-je doucement.
- Moi aussi mon coeur, mon coeur ? répéta tu étonné. Tu ne dors plus ?!?
- Non, je me suis jamais endormi en fait.
- Et moi, je te carressai, l'air de rien, tu aurais pu me dire que tu ne dormais pas.
- Je t'en pris continue, ça me fait du bien.
- Hai, si tu veux.
Tu passa ta main sous mon haut et recommença à me faire des caresses
- C'est mieux comme ça ?
- Oui, beaucoup mieux, je veux m'endormir pour de bon dans tes bras.
- Dors mon coeur, je te réveillerai pour venir manger tout à l'heure.
- Dis, tu promet de plus me rattacher ?
Tu rigola.
- Non, bien sur, sauf pour des exceptions, juste pour te torturer, tu n'es pas beau quand tu fais la gueule.
- Dis que je suis moche aussi, vas y fais toi plaisir.
- Mais non, tu n'es pas moche mon amour, tu es le plus beau au monde, il n'existe pas mieux dans tout l'univers ni même dans la galaxie.
- Cette fois il y a trop de compliments.
- Tu ne sais pas ce que tu veux mon ti' Kai.
- Je sais, j'aimerai le juste milieu, ni trop ni pas assez.
- C'est dur, tu es tellement exigeant, tu devrai te reposer maintenant.
- Je n'ai plus envie, je veux toi, là tout de suite, maintenant.
- Après avoir dormi, je veux bien te laisser un peu de mon corps, mais avant dors, je suis fatigué aussi et je pense que c'set la même chose pour toi.
- Mais euh.. tu n'es pas drole Aoi.
- Je sais, on a tout le temps d'être ensemble cette semaine, tu ne vas pas ronchonner parce que je dors, tu as déja virer Ruki et Miyavi de la maison.
- Gomen, je voulais pas, mais j'étais hors de moi.
- C'est pas grave mon coeur, maintenant on va dormir un peu, ça ne peut que nous faire du bien.
- Hai, bonne nuit.
- Bonne nuit, mon koi.
Je fermai les yeux et tu fit de même, on était lové l'un dans les bras de l'autre et le sommeil nous pris aussi rapidement l'un que l'autre. Cette fois je dormais pour de vrai, et rien n'aurai pu ébranler mon sommeil même pas une bombe qui exploserait dans l'immeuble d'en face, lorsque tu te leva il devait être midi, tu te dégagea de mes bras, et alla te préparer à manger. Tu hésitas à me réveiller mais tu opta pour ne pas le faire, c'était si rare de me voir reposé et calme que tu voulais en profiter, et ça serai bénéfique pour me remettre de cette fichue fièvre qui ne tombait pas ou du moins juste un peu. Tu te demandais pourquoi ça ne baissait pas, et tu te décida d'aller acheter un autre thermomètre à la phamacie, me laissant un mot sur la table de nuit au cas où je me réveille. Tu m'avais préparer à manger dans le frigo, il ne manquait plus qu'a faire réchauffer. Lorsque tu revins, tu fus surpris de me retrouver toujours au lit, dormant comme un bébé, à en devenir inquiètant, mais bon il fallait mieux que je dorme plutôt que je sois insupportable. Les heures tournaient et je dormais toujours, je me réveillai vers 16h, lorsque j'ouvris je fus surpris de ne pas te retrouver dans le lit ni dans la pièce, il était quelle heure, où était tu ? Je trouvis le mot coincé sur la table de nuit, et j'alla directement au frigo faire ce que tu m'avais préparé. Lorsque j'arrivai au frigo, je senti un poid sur mes épaules. C'était toi.
- Tu es enfin réveillé mon coeur ?
- Oui, il set quelle heure ?
- Il est dans les environs de 16h, me dis pas que tu vas manger maintenant ?
- Quoi, déja 16h, je t'avais dit de me réveiller pour qu'on mange ensmeble à midi.
- Gomen, tu dormais tellement bien que je n'ai pas osé te réveiller, tu devrai aller au lit, je vais te faire du thé, ça sera plus équilibré.
- Je préfére m'installer sur le canapé, j'en ai marre de voir ma chambre.
- Comme tu veux, je te fais ton thé et je file à la douche.
- Non, changement de programme, tu me fais du thé, tu attends que je le bois et on va à la douche ensemble.
- Ca ne me déplait pas non plus.
Et l'après midi se passa comme je l'avais dit. La fièvre avait finalement mis trois jours à disparaître complétement, tu m'avais aussi forcé à rester au lit, et maintenant nous pouvions reprendre les répétitions, le groupe tous ensemble. Nous avions décidé de nous retrouver à un café tous ensembles, celui on nous allions habituellement. Il se situait proche de notre local et comme nous avions pas fini les répets nous devions y retourné pour finir les derniers préparatifs du nouvel album que l'on enregistré, tout en faisant le clip de notre prochain single, les journées étaient donc très remplies ne nous laissant plus beaucoup de temps tout les deux. Uruha, cet après midi là était complétement saoul.
-Uruha: Aoi je t'aime.
-Aoi: Ouais moi non plus.
Uruha s'approcha de Reita et l'embrassa.
-Reita: Arrête, je suis pas Aoi.
Et il sorti de la salle en furie, histoire de ne pas frapper Uruha de suite.
-Ruki: Pauvre Rei, bon on fait quoi nous ?
-Kai: Ben on est là pour répéter à la base
-Aoi: Ouais mais bon avec Ruwa en moins ça va être dur.
-Uruha: On m'appele ?
Reita revint après s'être calmé quelques minutes dans les toilettes.
-Reita: Ouais vas te coucher, t'es complétement saoul.
-Uruha: Je suis pas fatigué Aoi.
-Reita: JE M'APPELE REITA, SI TU VEUX AOI IL EST LA BAS.
-Aoi: Espèce de refileur.
-Kai: Je propose qu'on le fasse dormir de force, parce que j'ai vraiment envie de jouer cet aprem.
-Ruki: Bon vous allez pas vous battre maintenant.
-Reita: Si justement, je m'appele pas Aoi, je suis pas brun et je fais pas de la guitare.
-Aoi: Ouais mais tu peux très bien l'être lorsque Uru te confond avec moi, et de toute façon j'ai déja une personne dans ma vie.
Tu me fis un bisou sur la joue.
-Ruki: Bon ben moi je vais essayer de le calmer, il doit plus rien comprendre.
-Kai: Je vais t'aider, Ruwa vient voir.
Le guitariste blond se dépécha d'aller voir Ruki et Kai qui l'appelaient.
-Uruha: Oui! fit-il de sa petite voix. Qu'es ce qui se passe ?
-Ruki: Tu veux bien aller dormir un petit peu, on te réveille après.
Je plaça quelques couvertures sur le canapé où Uruha se plaça directement.
-Kai: Tu viens on va aller faire une bonne sieste.
-Uruha: Je veux un bisou !
A tour de role le chanteur et moi même firent un bisou sur la joue chaude et rouge du grand blond.
-Kai: Fais un gros dodo mon ange.
-Aoi: Et moi je peux en avoir un ?
-Reita: Le jaloux acte 1.
Je l'embrassa et nous fîmes durer le baiser pendant quelques minutes sous les regards graves du second guitariste, du chanteur et du bassiste.
-Kai: Voilà t'es content ? Tu sais très bien que c'est pas pareil entre lui et toi.
-Aoi: Je sais mon coeur.
-Ruki: Et si on s'y mettais ?
-Reita: C'est parti.
Chacun se plaça derrière son instrument, au début Uruha écoutait les chanson mais il s'était finallement endormi. Nous avions enchainé des chansons tout l'après midi, malgrès la difficulté d'une guitare en moins. L'heure avait vite tournée, et personne ne voulait ramener Uruha chez lui, de peur de son esprit pervers, Reita s'était échappé le premier, Ruki décida finallement de le ramener chez lui, même si il du le réveiller. Nous, nous sommes rentrés chez moi, comme à notre habitude, on n'allait que très rarement chez toi depuis que tu avais élu domicile à mon appart. Le groupe se retrouverai donc le lendemain après midi.

mdr un uruha bourré

la suite

JOIE JOIE JOIE!!

La suite^^

hai hai la suiteuh !!! ^o^

super super la suite ^^

hihi jadore n__n
la suite! ^-^

^^ la suite!

bon ben voilà un bon bout de la suite, par contre aucune idée de quand je vais mettre le reste parce que je reprends les cours et que j'aurais plus le temps d'etre sur mon pc pour écrire.
Profitez bien de la suite

- Je suis fatigué, pas toi ?
- Non, ça peut encore aller, j'ai faim dis-tu.
- Tu veux manger quoi.
Je regarda alors dans le frigo qui se trouvait être presque vide.
- Il n'y a plus rien dans le frigo continuai-je.
- J'ai faim de toi.
- De moi ?
- Oui je veux ton corps pour moi.
- Euh, si tu veux dis-je hésitant.
- Si tu ne veux pas je peux comprendre.
- C'est pas que je ne suis pas d'accord mais...
- Mais tu pense à la première fois ? C'est ça ?
Je baissa la tête.
- Hai...
- Si tu ne veux pas on est pas obligé.
- Je veux mais j'ai pas envie de finir comme la dernière fois...
- Je veux pas te forcer à le faire, si tu n'as pas envie, on le fait pas.
- Je te fait confiance mais promet moi d'y aller doucement.
- Je te le promet mon coeur, je ne veux pas te faire de mal.
- Je peux aller faire une douche avant je suis encore plein de sueur de la repet.
- Ça ne sert à rien, tu vas sûrement devoir en faire une autre après.
- Ha.. hai...
- Eh arrêtes de stresser pour ça, je ne le ferai pas si tu es dans un état pareil.
Tu me pris dans tes bras et me caressas doucement le visage d'un air rassurant.
- Si, vas y fait le, je sais que tu en as envie depuis un moment.
- Oui mais si toi tu ne veux pas, ça ne sert à rien.
- J'ai envie, ne t'inquiètes pas.
- Tu es sur ?
- Hai, allons dans la chambre ça sera mieux.
Je me leva et je te tendis la main pour que tu me suives, d'un coté j'avais envie de toi mais je ne savais pas si j'étais prêt moi même, et puis tant pis, ça se passera bien, je te fait confiance. Arrivé dans la chambre, on s'amusa à se déshabiller mutuellement, puis tu m'allongea sur le lit, tu me regardais, comme si tu ne m'avais jamais vu comme ça, prenant tout ton temps pour m'observer, puis tu commenças à me caresser doucement le torse d'une main puis tu remonta des doigts jusqu'à mon visage et ta deuxième main elle restait sur mon ventre, descendant et montant à son gré. Ma respiration commençait à devenir irrégulière sous cette douce torture que tu m'infligeai, je n'osai rien dire, ni bouger, toi aussi tu ne disais rien, tu devais sûrement être concentré pour ne pas me faire mal et ne pas aller trop vite. Tu m'embrassa avidement, tu descendis ta bouche dans mon cou, et tu suçais laissant une petite marque marque mi bleue mi violette, tu avais laissé tes marques sur moi, et ta bouche descendit maintenant jusqu'à la poitrine où tu t'amusais alternativement avec mes tétons, je commençais à gémir, ce contact était si bon, je passai ma main dans tes cheveux, et toi tu descendais toujours plus bas, arrivé à mon bas-ventre tu t'arrêta volontairement, et tu te posa à mes cotés te reposant quelques secondes, voyant que je te suppliai de continuer, tu repris, tu posais des baisers humides sur mon sexe, t'amusant avec tes doigts le long de mes cuisses, ça devenait de plus que de simples gémissements, ça en devenait des cris de plaisirs, tu pris mon éveil dans ta bouche, et tes mains remontèrent me caresser mon visage en transe, tu leva ton visage et me regarda, me demandant si je voulais aller plus loin, on se comprenais en un seul regard, je pensais être prêt pour la suite et je te le fis comprendre, je fermais les yeux, tu passa tes doigts sur mes lèvres et je sorti ma langue pour les caresser doucement. Ton autre main baladait sur mes cuisses, mes hanches, l'aine. Tu t'allongea alors sur mon corps et je baissais alors les yeux
- Je suis désolé, je peux pas continuer...
- C'est pas grave mon coeur, c'était bien non ?
- Hai...
- Je ne veux pas te forcer à le faire pour moi, tu aurais dû m'arrêter.
- Nan, tu aurais été déçu...
- Je n'aurais pas étais déçu, ton corps et ton esprit ont des limites, et si pour le moment tu ne te sens pas pret pour le refaire rien ne nous oblige à le refaire...
- Merci.... merci de comprendre mon corps...
- C'est rien mon ange, viens on va se relaxer dans un bain bien chaud.
- Désolé...
- Arrêtes de t'en vouloir même si tu m'aurait dit que ça aller, je l'aurais pas fait, car je voyais que ton corps n'en n'avait pas envie, que la peur commençait à prendre le dessus.
- Ça se voyait autant que ça ?
- Non, mais tes gestes n'était pas sur, pas normaux, voir forcés, ça se sentait.
Je t'embrassa avidement, tu me connaissait donc si bien que ça, tu avais remarqué seul que ça n'allait pas, pourquoi cette fichue peur avait pris le dessus, je m'en veux toujours pour toi, tu ne dois pas être comblé de t'être arrêter si vite. On alla ensuite dans la salle de bain, pendant que l'eau chauffée, nous n'arrentions plus de nous embrassez, nos corps étaient collés à l'extrême et aucun de nous deux ne voulait lâcher l'emprise. Mais il fallu bien nous lâcher quelques secondes histoire de nous mettre dans l'eau brûlante au contact de nos corps, je m'installa sur toi, un peu plus bas, histoire d'avoir mon visage à hauteur de tes épaules pour te voir, tu déposais des baisers dans mes cheveux, l'eau chaude avait eu un effet anesthésiant sur mon corps, je ne le sentais presque plus, j'étais sur le point de m'endormir. Tu décida qu'il serai mieux qu'on sorte pour éviter que j'endorme définitivement dans l'eau. Je mis un boxer propre, allais dans la chambre et me glissa sous la couverture. Toi, tu n'avais pas envie d'aller dormir alors tu alla dans le salon, regarder la télé, il était minuit passé lorsque que tu te décida à aller te coucher mais tu ne tarda pas à t'endormir. Le lendemain matin j'étais levé à l'aube, je n'avais pas vraiment envie de rester au lit après y être resté presque une semaine, je déjeuna rapidement , pris une douche, et je commença à préparer ton petit déj' que j'allais t'amener plus tard dans la chambre. Lorsque j'eus terminé, il devait être dans les environs de neuf heures. Un dilemme se posait à moi: je te réveillai ou j'attentais encore un peu. Je décida de te laisser dormir, après tout tu t'étais couché tard et une heure de sommeil en plus te serais bénéfique. J'allumai la télé, et je regarda quelques dessin animés pour enfants. Cela avait le don de me faire rire, si stupide mais tellement bien. Il était 10h30 passé lorsque tout étais fini, je décida donc de te le lever, c'est pas que mais seul je m'ennuyais, j'avais pris l'habitude de t'avoir tout le temps à mes cotés, finalement je décida de na pas être égoïste et de ne pas te lever avant 11h si tu ne t'étais pas réveiller tout seul avant. Tu avais dû veiller toutes les nuits sur moi, et tu devais aussi être fatigué, un peu de sommeil ne te ferai que du bien. Je m'installa donc et je pris un magasine au hasard dans ceux que l'on m'avait donné, je pris mon Ipod, et me mis un peu de musique en fond. La lecture m'avait fait perdre la notion du temps, les minutes semblaient passé comme des secondes, ce qui me fit sursauter lorsque je levai enfin la tête pour regarder l'heure. 11h45. Il fallait absolument que je te réveille au sinon nous serions jamais prêt à 14h pour la répét'. J'entrai doucement dans la chambre, et je posa un bisou sur ta joue en guise de réveil.
- Mon amour, c'est l' heure de te réveiller dis je doucement.
Aucune réponse. Tu te tourna juste de sens. Je souleva alors la couette, mais j'y retrouvai un corps en boule, refusant de se réveiller.
- Aoi, il est déjà midi moins dix, il faut que tu te lèves.
Je caressai doucement ta peau nue, tu ouvris doucement les yeux, tu te retourna vers moi et me souris.
- Hum...
- Ne bouges pas, je vais te chercher ton petit déj'.
Tu refermas les yeux et poussa un petit gémissement pour approuver. Je te quittai sur un "ne te rendors pas" et j'allai chercher le plateau repas que j'avais préparer plus tôt dans la matinée. Lorsque que je revins, tu étais en train de te frotter les yeux qui étaient tout embués. Je posa le plateau devant toi, et j'allai ouvrir les volets.
- Soleil...
- Toi t'es pas encore bien réveiller.
- Hum Hum...
- Bien dormi ?
Tu fis oui de la tête car tu avais la bouge pleine et pas vraiment l'envie de parler. Tu aurais bien aimé dormir un peu plus, mais tu savais que si tu ne te levais pas maintenant on serait en retard et on se ferait gueuler dessus. Je m'assis à tes cotés après avoir refermés les fenêtres et je te regardai manger. La salle était silencieuse, tu n'es vraiment pas du matin, tu n'as toujours rien à dire.
- Tu sais, je regrette pour hier soir. Tu dois m'en vouloir, ne ?
- Mais non, arrêtes de te dire ça, je ne t'en veux pas du tout, et je t'aurais retrouver comment ce matin si on l'avait fait ?
- Je sais pas, mais bon c'est de ma faute.
- Nan, nan, nan, tu n'avais pas envie, tu ne te sentais pas prêt à le refaire, et j'ai envie d'attendre vraiment le bon moment.
- Comment fais-tu pour être aussi compréhensif ?
- C'est normal, tu ne dois pas t'inquiéter pour des choses comme ça.
Tu poussa le plateau repas que tu avais fini et tu me fit basculer sur toi, mettant ma tête sur ton épaule gauche, passant dans tes doigts dans mes cheveux t'amusant à les emmêler.
- Hé, tu vas tout emmêler !
- Je crois que c'est trop tard rigola-tu.
- Et je vais aller au répét avec les cheveux comme ça ?
- Ben on a qu'à prendre une douche, je te coifferai après.
- Mais j'y suis déjà aller tout à l' heure protestais-je.
- Pas grave, tu en refera une avec moi.
Tu me fis un énorme sourire, histoire de me faire craquer, pour que j'accepte enfin d'aller avec toi.
- Bon, si tu y tiens. Je suppose que tu as fait exprès.
- Même pas, mais une douche c'est mieux à deux que seul.
- Oui mais avec toi ça prends des heures et on est un peu presser par le temps.
- Mais non, ne t'inquiètes pas, on va y rester une dizaines de minutes pas plus.
- Oui mais je voulais qu'on aille au studio à pied
- Bon je vais faire une douche rapide, installes toi sur le canapé. Je me passerais de petit déj ou on va être en retard
Je soupira bruyamment mais je m'exécutai et je me mis allongé sur le canapé attendant ton retour. Tu avais mis un temps record à faire ta douche. Même pas 5 minutes, toi qui étais si long d'habitude, c'est vraiment rare. Nous partîmes alors vers le local. Il y avait déjà Reita qui était toujours à l'avance, il fut même surpris de nous voir arrivés si tôt. Le chanteur arriva direct après nous tandis que le guitariste blond mit un long moment avant d'arriver. Il avait une bonne migraine dû à sa saoulade d'hier et devait bien avoir une heure de retard ce qui avait mis en rage Reita. Après avoir calmer tout les esprits, la répét se passa bien, jusqu'à l'arrivée du manager qui venait nous annoncer quelque chose d'important. Il me prit à part étant donné que j'étais le leader. Il m'annonça que je devais dire que demain nous avions un concert imprévu. Le premier depuis que je t'avais dit "je t'aime" devant le public qui n' avait pas mis au courant de la suite des événements pour ma part. J'appréhendais ce moment mais pourquoi il m'avait demander à moi, pourquoi n'avait-il rien dit aux autres, il était reparti comme il était venu.
- Uruha: Qu'es-ce-qu'il te voulait ?
- Aoi: Tu as le droit de nous le dire ?
- Kai: Hai, bien sur, je suis même obligé.
Tous s'étaient installés sur le canapé en cuir, attendant que je leur dise la suite.
- Ruki: Alors, c'est quoi ?
- Kai: Je suis heureux de vous annoncer que demain on a un concert, que l'on doit répéter tout l'aprem, prendre quelques affaires et partir je sais plus où mais c'est pas la porte à coté.
- Reita: Il abuse de nous le dire que maintenant.
- Uruha: Je propose que l'on fasse nos affaires vite fait maintenant et qu'après on répète au moins on sera déjà sur place.
- Aoi: Pourquoi pas mais Kai et moi sommes venus à pied et ça risque de me prendre un moment pour rentré chez moi prendre des affaires propres.
- Ruki: Ben moi je te prend avec moi vu que t'habites pas loin de chez moi et Reita n'a qu'a prendre Kai avec lui. Ça vous va ?
- Tous: Hai
Sur ce le groupe se sépara, je parti avec Reita et tu partis avec Ruki, ça devait faire un long moment que tu n'avais plus mis les pieds chez toi, d'ailleurs il vaudrait mieux le vendre, le mien aussi et que l'on s'achète un appartement plus grand pour tout les deux. Le groupe se retrouva au même endroit environ une demi heure plus tard, nous étions arrivés les derniers avec la bassiste. Nous nous sommes déchaînés pendant environ 4 ou 5 heures d'affiler, créant un programme pour demain, puis vers 19h, on s'arrêta car il était presque l'heure de partir, toi et Uruha avaient rangés vos guitares, Reita, sa basse, et Ruki m'aidait défaire ma batterie qui était maintenant en plein de petit bout prêt à être emmené. On chargea le tout dans le minibus, je me mis à tes cotés, Reita avait demandé à Ruki de se mettre à coté de lui donc le guitariste blond se retrouva seul à l'arrière. Nous nous arrêtâmes pour manger un peu. Tout le monde s'était endormis sauf Ruki, si il dormait il était à coup sur malade le lendemain. Uruha s'était allongé carrément sur les deux places. Toi, tu étais collé au rebord, ton visage étais collé à la paroi froide de la vitre, Reita pareil, tandis que Ruki était recroquevillé et avait posé sa tête sur les jambes du bassiste. Le conducteur faisait des pauses assez régulièrement et Ruki en profitait pour sortir pour éviter de m'endormir. Mais vers 3h du matin, le sommeil le pesait tellement qu'il s' endormis comme une pierre sur le bassiste. Il devait être 7h du matin lorsqu'on arriva à notre hôtel. Tout le monde s'était réveillé, Ruki était blanc et avait une forte envie de vomir, ce qu'il fit lorsqu'il arriva dans sa chambre. Uruha l'avait rejoint, ils se trouvaient tout les deux dans les petits wc de la chambre où le guitariste se trouvait derrière le chanteur qui sortait tout ce qu'il pouvait de son corps mais il restait pale. Uruha l'avait fait allongé sur le lit pour qu'il se repose pendant que le reste du groupe s'installait, chacun passait à son tour dans la chambre du chanteur qui s'était endormit. Chacun à son tour défaisait un bout des affaires pour l'aider. Nous décidâmes de ne pas répéter ce matin et nous allâmes faire les magasins. Nous revînmes pour chercher Ruki et allâmes manger dans un petit snack où par chance personne ne nous avait reconnu. Nous passâmes l'après midi à répéter et nous nous arrêtâmes avant d'être trop fatigué pour ce soir.

c'est biiiien

la suiiite

pauvre rukiiiii!

c'est super ^^ vivement la suite!

Depuis le temps que je veux mettre quelque chose voilà enfin la suite
Y'aura surement une suite un peu plus tard soit dans le week end soit dans la semaine prochaine parce qu'après je suis plus là donc donc de publication (mais bon je dit ça mais je publie jamais uu )

Le concert passa extrêmement vite, nous avions fait le concert sur le type de celui d'avant modifiant deux ou trois chansons et les fan-services qui avait le don de me rendre jaloux lorsque tu étais collé à un autre membre du groupe.
- Uruha: bon et si pour fêter ce beau concert on aller se saouler dans un bar
- Kai: d'accord mais l'alcool c'est sans moi
- Reita: si tu veux, moi je suis d'accord
- Ruki: moi aussi
- Kai: et toi mon chéri, tu viens ?
- Aoi: non j'ai pas trop envie, je pense que je vais aller dormir
- Uruha: pas question, on va pas te laisser tout seul, tu viens avec nous.
- Kai: Si tu viens pas, j'y vais pas alors
- Aoi: non, vas y te prive pas pour moi, je suis juste un peu fatigué et vous aimeriez sûrement pas avoir une larve avec vous ce soir.
- Reita: m'en fou, on te veux quand même, si il faut je te porterai.
- Kai: c'est à cause de la dernière fois ?
- Aoi: qu'es ce que tu racontes ? je t'ai déjà dit qu'il fallait oublier mon coeur
- Ruki: bon, on s'en fou des histoires de couples, maintenant vous venez on vous attend.
- Kai: tu viens ?
- Aoi: j'arrive.
Je te tendis une main et tu la pris. Nous allâmes rejoindre le reste du groupe qui nous attendait déjà en dehors de la salle de concert. On trouva un petit bar tranquille, essayant d'éviter le plus de monde possible, et où on ne pouvait pas être reconnu. Du moins de pas beaucoup de personne. La soirée continua tranquillement. Les deux alcolos (Reita et Uruha) étaient déjà saoul depuis un moment. Je parlais avec le chanteur tandis que tu t'étais endormi sur une table à coté de nous. Tu était finalement si fatigué que ça, à peine arrivé tu avait pris une bière, l'avait bu et tu t'étais endormi comme un bébé. Vers deux trois heures du matin, tout le groupe sorti sous les protestations du guitariste blond et du bassiste qui aurait aimer boire encore un peu. De sa promesse le bandé du te porter jusqu'à l'hôtel car je ne voulais pas te réveiller. Tu étais si beau quand tu dormais qu'il fallait en profiter. Le bassiste te posa sur notre lit et il alla se coucher comme le reste du groupe. J'enlevai les habits superflus qui te gênerais sûrement pour dormir, te glissa sous la couette et je fis de même. Je m'endormis rapidement. Plus tard dans la nuit je me faisais réveiller par une petite boule qui c'était incrustée à mes cotés.
- Aoi ? dis-je doucement C'est toi ?
- Nan, c'est Ruki
- Mais qu'es ce que tu fais ici ?
- J'ai fait un cauchemar...
- Pourquoi n'es tu pas allé voir Uruha ou Reita ?
- Vu leur état hier soir, je vais partir, je suis désolé de t'avoir réveillé.
- Tu veux venir dormir avec nous ? Je pense pas qu' Aoi dise quelque chose
- Je veux pas vous gêner, je pense qu'il vaut mieux que je parte
Je l'attrapai soudainement d'un de mes bras, et je le força à rester contre moi avant qu'il ne puisse s'échapper
- Reste là pour cette nuit, je n'ai pas envie que tu cauchemardes encore
- Merci
- De rien, viens là, essaye de te rendormir maintenant
Le chanteur se roula en petite boule contre mon torse et il s'endormit quelques temps après. Je mis plus de temps que lui à me rendormir mais je fus pris d'un coup de barre qui m'endormis directement.
Le lendemain lorsque je me réveillai , tout le monde avait quitté le lit, je me retrouvai seul dans un grand lit froid. Es ce que tu avais vu Ruki dans notre lit près de moi ? Croyais tu que je te trompais avec lui ? Je me leva et je me mis à chercher les deux hommes. Je tomba sur Ruki en premier, il n'avait pas l'air traumatisé ni blessé, peut être que finalement il ne t'avait pas vu.
- Ohayo Ruki !
- Ah Kai, merci pour cette nuit dit-il
- Tu n'as pas vu Aoi par hasard ?
- Nan, je suis parti avant que tout le monde se réveille, je ne voulais pas attiré les foudres de notre guitariste.
- Ah, je le cherche de partout mais je ne le trouve pas
- Tu veux que je t'aide à le chercher ? Pour me faire pardonner de t'avoir déranger en pleine nuit.
- Si tu veux, merci de ton aide.
- De rien, tu viens ? dit-il en me souriant
Je le suivis et nous avions fait le tour de l'hôtel où tu pouvais te trouver mais rien, tu étais décidément bien caché. Je retournai alors à la chambre déçu de ne pas t'avoir vu et je m'allongea sur le lit remerciant Ruki qui partait de t'avoir cherché. Je refis le lit, habitude que j'avais à la maison même si nous nous trouvions dans un hôtel, puis j'allai prendre une douche. Lorsque j'eus fini, je te vis, tu m'attendais, j'avais un mauvais présage, mais je faisais comme si de rien était.
- Mon coeur dis-je en m'asseyant sur tes cuisses, où étais tu passé ?
- Je suis allé me promener.
- Tu m'en veux ?
- Pourquoi ? Pour Ruki ?
Je baissai les yeux puis la tête n'osant pas me confronter à ton regard
- Hai...
- Non, bien sur que non, juste un peu jaloux mais il faut bien le réconforter aussi.
- Merci...merci de jamais m'en vouloir, de tout accepter, de jamais rien dire
- Je ne peux pas t'en vouloir c'est plus fort que moi, tu le sais bien.
- Oui je le sais, ça faisais longtemps que tu étais debout ?
- J'ai du me lever vers 9h, je suis allé me promener et après je suis revenu à la chambre mais tu étais parti.
- Bon, c'est pas que mais mon devoir de leader m'appelle, il faut retrouver tout le monde pour régler le départ vers la maison.
- Mais tu vas arrêter de te prendre la tête avec ça, faut un peu profiter aussi.
- On profitera quand on rentrera à la maison
Je pris mon portable et j'appelai Uruha, Ruki et Reita pour leur demander de nous rejoindre dans une demi heure dans la grande pièce qui nous était réservée. Mais le dernier que j'avais appelé ne me répondait pas après deux appels sur son portable, je me dirigeai, énervé, vers sa chambre. Je toqua quelques coups sur la porte, aucune réponse.
- Où peut donc se trouver ce bassiste de malheur me dis-je à moi même.
Je refis une nouvelle fois le tour de l'hôtel, regardant de partout où il pouvait être. Je regardai le sol quand je percutai le guitariste blond.
- Que cherches tu, leader-furie-sama ?
- Reita dis-je énervé. Et te ravises pas de me rappeler comme ça ou la fin de ta vie sera proche.
- On dirait Ruki comme ça, jamais content.
- Bon tu sais où il est, oui ou non ?
- Oui.
- Où ?
- Parti dehors vers des achats.
- Et il a pas vu qu'il pleuvait dehors. Nan mais n'importe quoi je vous jure.
- Tu l'as appelé ?
- Oui mais il me répond pas. Donc va prévenir les autres qu'on part dès que je l'aurais retrouver.
- Tu vas pas que je l'appelle ?
- Il répond pas je te dis.
- Oh, c'est bon t'énerves pas. J'ai rien fait moi.
- Ben si justement, tu aurais du.
- Et j'aurais fait quoi de plus ?
- Il se serais pas enfui.
- Arrête de t'inquiéter. Tu es exécrable quand tu es comme ça. Tu vas retourner dans ta chambre avec Aoi. Vous allez faire vos valises et je m'occupe de le retrouver.
- Et tes affaires ?
- J'ai rien déballé tout est dedans, y'a juste à descendre la valise et ma guitare.
- D'accord, mais si tu le retrouves pas c'est pour ta pomme.
- Oui chef !
Je me mis à rire. C'est vrai que je suis vraiment de mauvaise humeur aujourd'hui. Mais bon vous disparaissez tous un par un alors je m'inquiète. J'allai retrouver les autres dans la grande salle. Vous aviez déjà descendu vos affaires, restait plus qu'à attendre. Uruha apparu en rapide coup de vent, me criant qu'il savait où était Reita. J'accourus vers lui mais il ne voulu pas me dire où il était et n'accepta pas que je le suive. Je retournai donc avec les autres me demandant ce qu'il pouvait bien faire.
- Mon ange, arrête de te torturer l'esprit, tu as entendu comme nous que Uruha aller le chercher
- Oui mais je me demande où il est parti, il aurai pu prévenir au moins.
- C'est bon il va revenir fit le plus petit.
- Hai...
- Arrête d'être inquiet.
- Et si on allait faire ses valises ? Ca nous avancerait pour partir parce que je voyage plus de nuit , si c'est pour être malade après.
- Vi on a bien vu, tu as les clés ?
- Oui bien sur fit le chanteur avec un sourire malicieux.
- Me dis pas que tu l'espionnes maintenant ? fis je
- Nan, mais j'ai eu sa clé alors on y va ?
Nous montâmes faire les valises. Une fois cela fait nous descendîmes mettre la valise dans le mini bus. Ne voyant pas le guitariste et le bassiste revenir je décidai d'appeler Uruha
-Uru, t'es où?....je peux savoir où tu l'as trouver....Bon d'accord....Je préfère encore me faire bâillonner par les lèvres de mon koi, baka. Mais accouche parce que tu me caches quelque chose et j'aime pas ça....Nani? c'est pas un endroit ça...revenez vite alors et tu sais ce qu'il faisait dehors ?....Attend. Il était à l'abri au moins ?....Hai hai, on vous attend et je vais chercher tout ça....dans dix minutes vous êtes là?....ok bye.
Et je raccrochai le téléphone, ressorti dehors pour reprendre la valise dans le mini bus sorti des affaires propres. Vous étiez déjà montés dans le bus. Uruha et Reita étaient vite arrivés, le temps que le bassiste se change et nous partions vers la capitale. Le bandé s'était endormi au fond du bus et n'avait pas sorti un mot. Tu t'étais aussi endormis sur une banquette pas loin de nous.

mais qu'est ce qui se passe ?

la suiiiite

Ca faisait lontemps que j'avais plus rien publié à cause de la panne de pc qui m'a fait perdre toute la suite que j'avais écrite donc j'ai tout changé. Enfin c'était carnage... La suite :

- Kai, tu peux venir me voir s’il te plait, fit le guitariste blond
- J’arrive, dans deux minutes
Je me dirigeai vers lui, posant un doux baiser sur ton front avant de le rejoindre. Je me posai à ses côtés avant de mettre ma tête sur ses cuisses.
- Tu voulais me parler ?
- Hai, tu manges à ta faim en ce moment ?
- Oui, pourquoi ?
Il me caressa les cheveux, répétant son mouvement toujours dans le même sens.
- Parce que je trouve que tu as perdu pas mal de poids depuis ta sortie de l’hôpital. Tes vêtements te vont trop grands, et Aoi m’a dit qu’il te portais facilement alors qu’avant…
- Pas tant que ça… J’ai perdu ce qu’il fallait
- Tu t’es pesé quand la dernière fois ?
- Je ne sais plus dis-je embarrassé. T’inquiètes pas je ne suis pas maigre.
- Non effectivement tu n’es pas maigre, tu es anorexique, pas mieux.
- Non, c’est pas vrai le coupais-je.
- Tit’ chou… Regarde tu n’as plus que la peau sur les os. Tu devrais aller voir un médecin.
- Je ne veux pas Ruwa dis-je en éclatant en sanglots. Je refuse, je vais y retourner au sinon.
- Es ce que tu as conscience de ta maigreur Kai ? Le groupe veut pas te perdre pour cela, tu sais, ça se soigne bien maintenant.
- Hai…
Je baissais la tête la cachant contre son torse, trempant son haut.
- Ssh… Dors un peu, je reste avec toi si tu veux. Mais je veux plus que tu pleures.
- Uru ? Arigatô.
- De rien bouille d’ange, tu dois prendre soin de toi.
- D’accord. Tu m’aidera hein ?
- Oui , on t’aidera avec le groupe, il faut que tu remanges à ton rythme, un peu à chaque repas au moins.
- Je vais pas y arriver.
- Mais si, on commencera tout doucement avec des liquides, et des trucs mous et après on rajoutera les autres aliments.
Je fermais les yeux pour empêcher les larmes de couler et renifla. Je passais mes bras autour de la fine taille du blond et je m’assoupit comme ceci, après avoir remonter mes jambes contre mon torse pour former une petite boule. Le repos fut court pour le guitariste car une demi heure après le chanteur l’appelai. Il me prit dans ses bras, fixant ma tête sur son épaule, me tenant dans ses bras. Il se dirigeait vers le plus jeune qui tenait fermement sa console entre les mains. C’est vrai que tu n’es pas lourd, tu dois sûrement faire moins de 40 kg, j’en mettrai ma main à couper…Kamisama Kai, comment tu es en arrivé là ? Pourquoi on a rien vu avant ? Le mieux sera de te faire rentré dans un établissement spécialisé mais tu ne voudra jamais… J’espère qu’on va s’en sortir, on te laissera pas tomber. Il sorti de ses pensées lorsque que Ruki lui fit un croche-patte, nous faisant tomber au sol, moi le premier.
- T’es pas doué fit-il avec un air désolé.
- Si tu l’as réveillé, je te jure que tu es mort.
Mais hélas pour le chanteur, je m'étais réveillé lorsque je me retrouvai sous le plus grand et je me mis à pleurer immédiatement d'incompréhension. Pourquoi étais je sous lui ? Pourquoi j'ai un mal de tête horrible ? Où est tu ? Le guitariste se releva et me prit dans ses bras et me berça comme on le ferait à un enfant. Il lança un regard noir au plus jeune avant de s'assoir à sa place en me réconfortant.
- C'est fini Kai, ne pleure plus, on est juste tombé. Je ne t'ai pas fait mal ?
- Iie... ça ira...
Je me calmais petit à petit, reprenant mes esprits, comprenant pourquoi je m'étais retrouver sous lui. Je me rappelait aussi de notre discussion et comment elle avait fini.
- Pourquoi tu t'es lévé ?fis-je en séchant mes dernières larmes
- Ruki voulait me montrer quelque chose.
- Ah !
- Essaye de te rendormir, on est pas prêt d'arriver.
- Je peux ?
Je lui montrai ensuite ses cuisses, significatif que je voulais m'endormir sur lui car je savais qu'il ne dormirait pas et que j'étais sujet aux cauchemars en ce moment, et je ne voulais pas te réveiller.
- Bien sur, prend toute la place que tu veux, si tu veux rester.
- Arigatô gozaimasu
- De rien dit- il en souriant. Dors petit ange.
Je me rallongeai sur lui, ma tête au milieu du creux que former ses deux jambes collées. Il me carressait doucement le visage, toujours humide de mes pleurs. Je m'endormis rapidement contre lui, les carreses m'avaient détendu. Elles étaient légères et me faisait frissoner au départ puis elles me laissaient m'évader en toute confiance, elles étaient différentes des tiennes.
- Ruki, vient me voir s'il te plait fit-il après que je me sois endormi
- Hai
Il baissa la tête, eteignit sa console et se dirigea vers le guitariste blond. Il se mit sur la rangée de sièges juste devant nous. Il passa sa tête à travers le trou et me fixait.
- Tu voulais me dire quoi tout à l'heure ?
- J'avais deux problèmes en fait... un est résolu l'autre non
- Commence par celui qui n'est pas résolu
- Tu sais ce qu'a Rei ?
- Nan je sais rien, il n'a pas voulu me parler quand je suis revenu avec lui. Gomen. Il avait l'air perturbé mais je pourrais pas dire par quoi.
- Pas grave, je m'ennui tout seul, en plus je suis bloqué sur mon jeu, alors j'ai tout arrêter et je dois tout recommencer. Je veux dormir !
- Tu sais très bien que tu ne peux pas dormir quand on roule que tu te rends malade, essaye de t'occuper, écris une chanson, veille sur notre bassiste.
- Hai, je vais aller le voir, ça m'occupera.
Le plus jeune se leva et commença à partir d'un pas chancelant.
- Ruki, matte !
Il se retourna vers nous, un regard interogateur sur le visage, puis il fixa Uruha.
- Tu veux quoi ?
- Tu peux me chercher une couverture pour Kai et tu pourra en mettre une sur Aoi et Reita également.
- Hai ^^
Et il parti en souriant ne laissant même pas le temps au plus grand de le remercier. Il alla à l'avant du bus, monta sur un siège pour pouvoir récupérer les couettes qui étaient coincées en hauteur. Il nous en emporta une, Uruha avait enlevé mes chaussures pour ne pas salir les sièges, puis il me borda sous la couverture. Ruki fit de même pour toi et ensuite alla voir le bassiste au fond du bus, en tenant fermement sa couette dans la main. Il la posa délicatement sur Reita, veillant à ce qu'il n'étouffe pas de chaud en dessous, puis il lui carressa les cheveux encore humides de la douche qu'il avait pris par la pluie le matin même. Il se mit à genou sur le sol pour être à la bonne hauteur, lui chuchotant de douces paroles pour que personne d'autre ne les entende. D'un seul coup, après avoir passé environ une heure sans bouger, le plus jeune se leva et courru chercher sa console pour se remettre au même endroit. Le guitariste blond fit un sourire amusé en le voyant faire, tout en me caressant le dos d'une main et le torse de l'autre. Durant le voyage, je m'étais réveillé quelques fois, mais Uruha arrivait toujours à me faire rendormir presque immédiatement en me faisant un bisou sur le front ou des caresses prouvant que je pouvais encore dormir, qu'il me surveillait toujours et qu'il ne partirait pas. Une fois arrivé à la capitale, tu t'étais réveillé et tu étais venu te plaçais devant le siège où j'étais placé avec le plus grand, exactement au même endroit que le chanteur quelques heures plus tôt. Toi et Uru parliaient ensemble alors que le benjamin s'était fait une place à coté du bassiste et chanter tranquillement.
- Voilà vous pouvez y aller fit le manager une fois que l'on était arrivé au local.
Tu vins me récupérer, essayant de ne pas me réveiller pour que l'on puisse rentrer à la maison, alors que Ruki lui tenter de réveiller Reita.

c tristoune

nyuuuu la suite